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Caissieres - La série fiction

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Caissieres

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Et n'oubliez pas votre ticket de caisse.

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----------------BIP, BIP, BIP...
Vous les connaissez probablement. Connaitre, c'est un grand mot, cela dit. Disons que vous les avez vues, ou vous leur avez réglé une certaine somme. En espèces. En carte. En chèque. Peu importe. Elles savent ce que vous consommez, puisque tout ce que vous choisissez passe entre leur mains. Rassurez-vous : elles s'en fichent. Car, si pour certains d'entres vous elles ne sont pas grand chose, vous n'êtes pas grand chose pour elles non plus. Mais, d'ici quelques temps, tout le monde parlera d'elles. Oui, celles qu'on appelle, les caissières.

----------------CARTE DE FIDÉLITÉ---Un commentaire en précisant que tu souhaites être prévenu(e) des nouveaux épisodes.
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#Posté le lundi 22 août 2016 12:27

Modifié le mardi 23 août 2016 12:40

-----------------SAISON 01

------Épisode 01-----------------Pilot
------Épisode 02-----------------
------Épisode 03-----------------
------Épisode 04-----------------
------Épisode 05-----------------
------Épisode 06-----------------
------Épisode 07-----------------

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#Posté le lundi 22 août 2016 13:15

Modifié le mardi 23 août 2016 10:16


SAISON 01 - ÉPISODE 01 : PILOT

Au début, c'était un jour comme les autres. Le premier client s'était présenté au magasin, puis le deuxième, troisième, et ainsi de suite. La routine. Les filles se préparaient à passer une agréable soirée. Puis les choses avaient pris une tournure inattendue. Pas aussi surprenant que ça, si on y pensait vraiment. Mais ça ne s'était pas passé hier, alors pourquoi cela devait-il se passer aujourd'hui ?
- Oh mon dieu... Qu'est ce que on a fait...
- Je...
- C'était elle ou...
- Mais peut être qu'il y avait un autre moyen, si on avait seulement réfléchi, si on avait...
- Putain, putain, putain...
- Tu crois vraiment qu'on avait le temps de réfléchir ?!
Elle était assise sur le canapé, les yeux dans le vide. Les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche, pourtant elle savait bien ce qu'elles devaient faire maintenant. Elle n'eut pas besoin de le dire, car son amie prit la parole avant elle.
- Il faut se débarrasser des preuves.


Quelques heures avant...
Amélie avait encaissé le premier client ce matin. Un habitué. Un grand-père à la retraite qui venait dès l'ouverture du magasin, comme si le reste de la journée allait être d'une cadence particulière pour celui-ci. Si Amélie avait été à sa place, elle aurait passé ses matinées à dormir. Peut-être même des semaines entières.

Ce n'était pas tant le métier qui la fatiguait (même si elle n'avait jamais rêvé d'exercer cette profession et que cela s'était imposé comme une obligation). C'était une grande partie des choses dans sa vie. L'alcoolique qu'elle hébergeait gracieusement chez elle, meilleur ami de son responsable, et de surcroît, son mari, prince charmant pas si charmant que ça, en fin de compte ; son adolescent de douze ans, qu'elle aimait par dessus tout, bien évidemment, mais qui lui demandait beaucoup de temps ; les fins de mois plus que difficiles, les coups qu'elle avait déjà encaissé (ironie du sort)... Amélie était venue à en être fatiguée d'elle même. Elle avait fait l'ouverture du magasin. A cette époque, elle avait 27 ans. Elle venait de finir ses études et ne parvenait pas à trouver du travail dans son domaine et ce travail s'était imposé comme une nécessité. Comme pour énormément d'entre elles, c'était censé être un travail de passage, histoire de faire rentrer un peu d'argent. Aujourd'hui, elle en avait 34, et elle était toujours là. Tout dans sa vie s'était dégradé, petit à petit. Elle s'était dégradée. Elle avait l'impression de faire partie des murs du magasin.

Ce n'était pas une grande ville, et la majorité des gens se rendaient dans cet hypermarché pour effectuer leur emplettes. Bien sûr, il y en avait d'autres. Mais on disait de celui-ci qu'il était mieux organisé, offrait plus de choix à sa clientèle, le personnel y était en grande partie aimable et serviable. De plus, sa galerie marchande était composée d'une pharmacie, de deux salons de coiffures qui se faisaient presque face (comme c'est souvent le cas dans ce genre de galerie), d'une sandwicherie/snack, de quelques bijouteries et magasins de chaussures. Tout ce dont avait besoin le peuple. Alors au bout de 7 ans, les gens la connaissait. C'était la caissière aux cheveux un peu ternes, celle qui vous rend votre sourire même quand elle n'en a pas envie.

Il y avait quand même un point positif à cet endroit : c'était là qu'Amélie avait rencontré ses 3 plus proches amies, elles aussi caissières.

La première qu'elle avait rencontrée s'appelait Maxime. Elle était arrivée quelques mois après Amélie dans la boite. Mère divorcée, avec deux enfants à charge, la quarantaine, mais toujours très jolie. Elle plaisait à énormément d'hommes. Certains d'entres eux ne passaient qu'à sa caisse. Maxime avait une sorte d'audience. Maintenant, ses enfants avaient déménagés, et elle vivait seule. Elle avait eu quelques histoires, mais rien qui n'avait jamais duré. C'était d'ailleurs la première chose dont elle avait parlé à Amélie : les hommes. Ils avaient beau être attirés par Maxime, cette dernière s'en méfiait comme la peste. Amélie avait compris au fil des années qu'elle aurait du s'en méfier aussi. Et petit à petit, elles avaient commencés à se voir en dehors du travail.
Amélie admirait Maxime. C'était le genre de femme que toutes les femmes voulaient être plus tard. Belle. Confiante. Forte. Rien ne semblait la décourager, et Amélie prenait une bouffée d'air frais dès qu'elles se retrouvaient toutes les deux pour parler.

La seconde lui fût présentée par Maxime : Denise. Cette dernière avait l'âge d'Amélie, mais une vie totalement différente. Certes, elle ne roulait pas sur l'or, mais elle avait une relation bien solide avec son mari. Le couple avait deux enfants métisses, tout aussi beaux que leur parents, qui rendaient souvent visite à leur mère au travail (leur domicile était à une dizaine de minutes à pied et les enfants avaient été habitués à venir faire les courses pour la famille). Denise avait rejoint le duo Amélie/Maxime pour former une entité qui semblait désormais complète. Leur amitié égayait leur quotidien, et elles apportaient toutes quelque chose à l'autre.

Puis, un an et demi de cela, il y eut Lucie. La vingtaine. Lucie était un peu l'ovni de la ligne de caisse. De une, c'était la plus jeune. Les filles l'avaient un peu mises à l'écart au début du fait de son jeune âge, tout en restant sympathique avec elle. Un jour, elles avaient appris que Lucie n'avait pas besoin d'être ici. Qu'elle n'avait pas besoin de ce travail, contrairement à elles trois.
Lucie était issue d'une famille aisée (et c'était un euphémisme). Leur maison principale se trouvait dans les hauts de la ville (où toutes les maisons des gens fortunés se trouvaient) : piscine, jacuzzi, plus de salles de bains que de personnes. Ils avaient des propriétés dans quelques endroits dans le monde. Les filles n'avaient su cela que récemment : Lucie était toujours restée évasive sur sa situation. Elle ne voulait pas que ça se sache. Un soir en fin de service, les filles avaient surprise une conversation téléphonique tumultueuse entre Lucie et son père. Lucie avait vidé son sac ce soir là. Elle était plus mature que les gens de son âge. Ses frères et soeurs avaient toujours été définis par leur père : elle ne voulait pas que ce soit son cas. Elle avait pris un travail pour payer ses études et était là plusieurs fois par semaine. De plus, prendre ce travail était un moyen de s'émanciper de son père et du contrôle qu'il avait sur elle. Les trois "doyennes" avaient beaucoup de respect pour la jeune adulte, et leur regard sur Lucie changea.

Petit à petit, les quatre femmes avaient commencé à se fréquenter régulièrement. Elles allaient les unes chez les autres (même s'il fallait que le mari d'Amélie soit absent pour pouvoir s'y rendre), elles s'échangeaient les dernières nouvelles, certains commérages. Ce que font les amies.

- Toujours bon pour ce soir ma belle?
Amélie fût tirée de ses pensées. Maxime venait d'entrer sur la terrasse où les employés prenaient leur pause.
- Bien sûr que oui !
C'était le soir où était donné la soirée annuelle de l'entreprise. Tout le personnel y était convié. La réception avait toujours lieu dans des endroits superbes, où les filles n'auraient jamais mis les pieds en temps normal. Il y avait toute sorte de nourriture, l'alcool coulait à flots, la musique était agréable, et personne ne manquait jamais cette soirée. C'était aussi l'occasion de pouvoir voir ses collègues autrement qu'en tenue de travail. La soirée où l'égo de certains se manifestaient. Les employés sortaient leur plus belles tenues, on se croyait au festival de cannes chaque année. Il avait été convenu que Maxime passerait prendre Denise, Lucie, puis Amélie, et qu'elles iraient à la soirée ensemble.
- Il faut que je te laisse, j'ai fini ma journée et je dois aller chez le médecin. On se voit ce soir !
- A ce soir ma belle.
Amélie n'allait pas chez le médecin. Elle allait dans ces centres où les séances de psychologue sont gratuites. C'était l'un des secrets qu'elle n'avait jamais confié à ses amies. Ces séances lui faisaient du bien, mais ça n'était pas suffisant.
Maxime, elle, commençait son service. Il y avait toujours plus de monde l'après-midi, et elle allait encaisser les clients à la suite des autres. En allant vers les toilettes, elle croisa son chef.
- Maxime, toujours un plaisir de vous voir.
C'était un homme d'environ un mètre quatre-vingt, 35 ans si sa mémoire ne lui jouait pas des tours. C'était aussi le meilleur ami de sa collègue et amie Amélie. Elle l'avait toujours trouvé lourd. C'était évident qu'il avait un petit faible pour elle et il lui était arrivé de s'en servir à son avantage, quand elle avait besoin de certains jours de congés ou d'horaires différents. Elle le salua doucement d'un signe de tête et s'engouffra dans les WC.

La journée passa étonnement vite. Les filles avaient toutes hâte d'être à ce soir. La soirée allait être bonne. Ces fêtes là l'étaient toujours.

Denise se préparait chez elle. Elle avait revêtu une jolie robe jaune qui allait parfaitement à son teint noir. Son mari la contemplait de la pièce d'a côté.
- Tu es sûr que tu ne veux pas venir ?
- Ne t'en fais pas pour moi. En plus, il faut quelqu'un pour garder les enfants.
Elle vint le rejoindre dans le salon et lui donna un baiser. Le petit Marc fit une grimace en voyant ses deux parents s'embrasser. Le couple esquissa un sourire amusé.
- J'ai vraiment épousé l'homme parfait.
Le portable de Denise sonna. Elle se leva et alla décrocher.
- Ok, ça marche, je descend. A tout de suite ! lança-t-elle en raccrochant. Bon, je file. Les enfants, soyez sages avec Papa !
Elle donna un dernier baiser à Dylan, son mari, et partit en fermant doucement la porte. Une fois dans la voiture, elle détailla la robe à fleurs de Maxime, laquelle avait un décolleté très avantageux.
- Ahh, si je n'étais pas mariée !
- Tu parles.
Les deux amies rirent à l'unisson. Une sonnerie retentit sur le portable de Maxime.
- C'est Lucie, dit Denise. Elle dit qu'elle nous attend dehors.
- Dis lui qu'on arrive dans cinq petites minutes.

Cinq minutes plus tard, Lucie était dans la voiture avec ses amies. Elle avait opté pour une petit robe noire, très simple, mais qui lui allait à ravir. On pouvait deviner qu'elle coutait bien plus que celles de ses amies. Maxime conduisait tranquillement en direction du domicile d'Amélie. Elle habitait une petite maison plain-pied. La conductrice se gara sur le bas côté et composa le numéro d'Amélie. Au bout de quelques instants, elle tomba sur son répondeur.
- Elle ne répond pas. Je vais lui envoyer un texto.
Les filles attendaient. Dix minutes plus tard, après avoir papoté, Amélie n'était toujours pas là.
- On devrait aller sonner. Peut-être qu'elle a égaré son portable.
Sur un commun accord, les filles descendirent du véhicule et se plantèrent devant la porte d'Amélie. Lucie toqua. Pas de réponse. Tout à coup, un bruit sourd se fit entendre. Les filles se regardèrent et enclenchèrent la poignée. La porte était ouverte. Le bruit les avaient inquiétées, mais jamais elles n'auraient pensé à ça.

Amélie était au sol, sur le seuil de la chambre parentale, sa robe déchirée. Mickaël avait une main bien ferme sur sa cheville et s'apprêtait à la tirer vers le salon. Il ne les avaient pas entendues rentrer.
- HEY ! s'écria Maxime.
Il se tourna vers elles, lachant alors la cheville d'Amélie. Il était ivre. Bien plus que d'habitude. Amélie leur avait raconté qu'il l'avait déjà frappé, et sa situation avait toujours inquiété ses trois amies. Elle leur avait dit qu'il buvait énormément, qu'il était dépendant à l'alcool depuis quelques années déjà, et que les coups avaient suivis. Les filles l'avaient déjà suppliés de partir avec Louis, son fils. Elle avait toujours dit qu'elle "arrivait à gérer". Mais ce soir, non, elle n'arrivait pas, de toute évidence. Le regard de Mickaël était fou. Tel un chien enragé. Il se rua vers Maxime et la plaqua contre le mur. Lucie et Denise eurent tout juste le temps de s'écarter. Maxime essayait de se dégager de son étreinte, mais il était bien plus fort qu'elle. Denise hurlait.
- Mickaël, Mickaël ! MICKAËL !
Elle essayait de le tirer vers elle. Il lui donna un violent coup qui l'envoya sur le sol, non loin d'Amélie, qui était complètement sonnée. Comme si elle n'était plus là. Tout se déroula extrêmement vite. Lucie attrapa le tisonnier qui était posé contre la cheminée et assena plusieurs coups à Mickaël. Il laissa alors Maxime et se retourna vers la jeune fille. Elle lui décocha un dernier coup, il tomba et se heurta la tête sur le carrelage froid.
- Mon dieu... elle laissa tomber le tisonnier au sol et se précipita vers Amélie. Amélie, oh mon dieu Amélie, ça va ?
Denise avait pris Amélie dans ses bras.
- Les filles...
- Je ne peux pas y croire! On va t'emmener à l'hôpital et au poste de police avant qu'il ne reprenne conscience...
- Les filles. insista Maxime.
Amélie ne répondait toujours pas.
- Ecoute, ça ne peut plus durer, dit calmement Denise. Il a été trop loin ce soir. Tu dois porter plainte.
- Je suis bien d'accord avec Denise. On t'aidera et...
- LES FILLES !!! les coupa Maxime. Il est mort.
Les filles se retournèrent brusquement vers Maxime, qui venait juste de prendre le pouls de leur agresseur.
- Il est mort, répéta-t-elle, comme si les filles ne l'avaient pas entendue la première fois.
Le sang se répandait sur le carrelage. Lucie se redressa et commença a faire les 100 pas en se tenant la tête entre les mains.
- J'ai.. Je l'ai tué.. J'ai pas frappé si fort... Je voulais juste le mettre hors d'état de nuire... Je ne voulais pas le tuer...
- Il faut qu'on appelle la police, murmura Denise, sous le choc.
Lucie tourna la tête vers elle, interpelée. C'était elle qui avait donné les coups. Elle l'avait tué. Amélie se hissa tant bien que mal vers le canapé.
- La plupart de ses amis sont flics. Ils prendront son parti et ça se retournera contre nous, lança Maxime.
- Oh mon dieu... Qu'est ce que on a fait... sanglota Denise.
- Je... essaya Louise.
- C'était elle ou... assura Maxime.
- Mais peut être qu'il y avait un autre moyen, si on avait seulement réfléchi, si on avait... continua Denise.
- Putain, putain, putain... marmonnait Lucie, paniquée, tout en continuant à tourner en rond.
- Tu crois vraiment qu'on avait le temps de réfléchir ?! s'écria Maxime.
Amélie était assise sur le canapé, les yeux dans le vide. Les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche, pourtant elle savait bien ce qu'elles devaient faire maintenant. Elle n'eut pas besoin de le dire, car Maxime prit la parole avant elle.
- Il faut se débarrasser des preuves.

Musique de la dernière scène
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#Posté le lundi 22 août 2016 13:25

Modifié le mardi 23 août 2016 10:19

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